du Premier soutra au dernier ?

Premier soutra

A mon sens, la question en amene une autre... Qu'est-ce-qu'un Dieu?
Souvent il est ecrit
"Dieu dit: Faisons l'Homme [...]
Dieu crea l'Homme"
Mais Dieu nait de la conscience des Hommes issus de la parole de Dieu.
Ainsi, qui fait le pouvoir si ce n'est la parole de la femme qui a nomme Dieu, et qui a donc fait le miracle si ce n'est elle-meme?

De meme, le voyageur n'existe dans le soutra que par son interaction avec le chien. Ainsi, n'est-ce pas le chien qui permet l'incarnation du voyageur, et qui donc a fait le miracle si ce n'est le chien lui-meme?

En nommant le miracle, la femme et le chien l'ont inscrit dans leur conscience et l'ont donc compris tous les deux.

Voila l'opinion nee d'un long dialogue avec moi-meme... Que sera-t-elle apres m'etre entretenu avec vous?

Voici ce que j'en pense :

Si le mur est matériel et non conséquence d'une difficulté immatérielle ou psychique que la femme peut avoir, alors on peut émettre l'hypothèse d'un miracle, cependant le miracle ne peut avoir lieu qu'en croyant en un Dieu.
Cependant la femme peut voir un miracle là où il n'y en a pas : je m'explique.
Le mur en question n'est peut être qu'un mirage, de sa conscience.
La femme ne peut donc comprendre un miracle, si elle même n'est pas un Dieu.

Le chien est attaché au poteau. Le poteau est un obstacle à la liberté du chien. Un voyageur le détache. L'hypothèse du miracle est assez improbable. Cependant, admettons. Pourquoi le voyageur détacherait le chien ? Un acte de bonne conscience ? Le voyageur peut-il être lui même la représentation de Dieu dans l'esprit du chien ? Si ce n'est qu'un voyageur, le miracle n'est pas. Si c'est un Dieu c'est un miracle.
Maintenant la question est de savoir si le chien comprend les miracles, ce n'est pas à un homme qu'il faut demander cela mais bien à un chien.

Qui de la femme ou du chien et le plus apte à comprendre les miracles ? Voila une question à laquelle je n'ai pour l'instant pas de réponse...

La réponse est :

Karma

La réponse est :

Sensualisme réciproque.

La réponse est :

Idéologie fanatique inconsciente.

La réponse est :

Corrélation éthique oecuménique mutilatoire.

La réponse est :

Désir éternel imaginant conséquence extraordinaire.

La réponse est :

Coeur vide insondable agnostiquement sauvage ignorant

La réponse est :

Écrins rugueux palpitant envieux impotents imitateurs obsolètes.

Les réponses sont :

-Dédaignant puissance remplaçant fureur incontrôlable instillant sauvagerie humainement empathique.

-Perfection martiale assurant protection insipide sans folle faiblesse.

La reponse est :

Contingence vitale séculaire, amour fusionnel glacé relation hermaphrodite arpentant sérénités 

La réponse est :

H P L K A G B E D N

La réponse est :

Puissance primale primitive intolérante, rassérénante sous-tendant inimitié ostarciste ostentatoire douloureusement malade.

La réponse est :

I rradiation
N épotisme
S alvatrice
U topique
R alliant
R étifs
E motifs
C ontrant
T ractation
I ntime
O bscène
N éfaste

La réponse est :

Magistrate meurtrière, officier délégué sentencier mort, présentation colère populaire, vengeance médaille familiale victime.

La réponse est :

Négation ordonnée : Ordination légiférant existence, variation humeurs valorisant grandeur, tolérance, rage impulsive complètement entropique.

La réponse est :

1. Résistance obséquieuse, délire égocentrique relatant désirs immoral renforcé ultérieurement jouissance puissance destructrice correspondant néant regret.

2. Brisure ordre élégiaque allégorique, annihilation fondement connaissance chaos primordial cosmogonie latente bouillonnement chtonien, multiplicité primitive.

3. Puissance prisonnière guerrière, équité symbiotique, solidarité franche Impératrice dressant amitié transformation haine farouche biais tourments.

4. Echos visuels, lumière salvatrice connaissances frontispice, légère feuille morte poussée brise caressante, espoir perdu sombrant.

La réponse est :

Dieux sont incapables de connaître la date, le lieu ou la manière dont je vais mourir.

La réponse est :

Devant les portes de l'enfer, la force n'est rien, seul le courage, la repentance importent.

18 - La réponse est :

La fleur fâne feignant de se défendre face à la fraîche rosée de la fin,
Fascinée par le flamboyant Frêne dont les frondaisons frôlent les frontières
Elle se farde de ses falchions fallacieux, fauchant les efflanqués fâcheux et fiers;
Filant en taffetas en faisant fondre les femmes de leurs parfums.

19 -Les puissances reprennent force dans la manipulation des mânes manifestant leur magnanimité dans les manuscrits manichéens de leur manies. Et aussi dans l'adoration et l'usage de la lettre M, prétextant que celle ci est maudite.

La réponse est :

Le bourreau broie les bribes de vies, barrant d'espoir les brèches bâtardes par le biais de sa hallebarde. Telle une brise sur le bras de Bhrama, la bruyante barrière à la vie s'abat sur le bréchet de la dame Raurava, ainsi, suivant le bref besoin et la nature brusque de sa fonction, Brhama, tel le bourreau, abat son bras et anéantit la bise et fend la vie, d'un souffle. Bhrama, tel le bourreau, bandant le bras tel une arme blanche, ne cherche ni à nuire, ni à bondir de bonté sur la belle mais assume sa fonction. Ainsi, bel et bien, le bourreau n'a ni coeur ni besoin d'en avoir. LA fonction brime l'organe et par le fait broie la nature. Le Bourreau est donc, avant d'être un noble, un Noble devenant la barque d'une force et non le porteur d'une chambre à valvule biscornue et bringuebalante.

La réponse est :

C'est tel le serpent qui s'insinue que le les si cassants humains se brise dans leur souffle dés lors qu'un sang salvateur peut les soulever aux nues de Shiva. Ce ne sont pas les cendres, ni la saveur de savoir quelles sont les sucs du vin sacré qu'ils vont savourer mais plutôt le dessin se profilant en train de se faire envier par leurs semblables alors qu'ils dégustent un vin sans prix.
La vraie contamination provient d'eux mêmes. Les humains sont composés de perfidie et de corruption dés leur création du simple fait qu'ils sont faits de ce sacerdoce qu'est l'Ego.

La réponse est :

La nature de la liberté est une douce symbiose entre l'absence de déterminisme et une contingence totale. Le vent agit sans être influencé par qui que ce soit. Ainsi, selon son désir, un battement d'aile de papillon peut transformer sa caresse du matin d'été en une fureur destructrice si bon lui semble.
Et de même Iksa, elle qui peut tout faire, peut choisir dés qu'elle le veut de se protéger du vent ou de se laisser balayer par la tempête.

La réponse est :

9. AU plus haut des cieux se trouvent l'Imperator de l'infini, le mur qui arrête la création et les Toumenteurs qui, juchés sur leurs pâles detriers, scrutent la Réalité Mythique et les humains. Ainsi, ensemble et malgré la Valde Bellum, ils se racontent une histoire et se font rêver en y mêlant peurs et espoirs, de victoires et de forces jusqu'à l'arrivée de l'Imperator du Quatrième Âge qui mettra un terme à l'histoire et à la guerre...

10. IL n'y'avait rien qui arpentait les mondes avant le commencement du temps. Il ne demeurait qu'Yggdrasyl qui n'arpentait rien mais qui imaginait le temps sur la multiplicité des mondes et sur ce qui arriverait durant la Valde Bellum

11. Les dragons considèrent comme sacré leur univers et leur créateur, c'est à dire l'Imperator du merveilleux ainsi que leur maître, l'Imperator du Mazdésime : Zarathustra et plus encore que Zarathustra, sa parole : sacrée et pure, une fleur de Maïeutique parfaite en éternelle éclosion.

La réponse est :

Là où se pose l'empreinte du pas, se désagrège le pied comme se déroule la vague sur la plage. Ainsi, sur le monde, rien n'érode l'empreinte de chaque chose. Si ce n'est le temps, tout laisse une trace qui restera indélébile. Tel le souvenir d'un moment partagé entre amant, le parfum de la madeleine ou la première entrée dans un lieu saint, qui reste gravé en mémoire, la seule chose qui soit l'antithèse de l'empreinte de pas, c'est à dire, la seule chose qui ne laisse aucune trace sur ce monde, c'est l'Arc-En Ciel.

Là où la ville se dresse, le reste du monde s'incline. Ainsi, sur la plaine, dans les lacs ou sur l'océan, en surplomb la ville est haute et hautaine et orne sa majesté. Même les montagnes sont plus petites lorsque l'on contemple la ville et son foisonnement. Rien n'est plus majestueux que la vie resplendissante et ivre de vie. Néanmoins, elle est le centre, le point névralgique des désirs, mais point le rêve qui danse dans les yeux des Hommes. La ville est accessible et n'est que le point d'ancrage et la halte de la longue route qui mène vers nulle part et le rêve de chaque coeur. Néanmoins, ce n'est pas la ville qui fascine l'homme et qui est son antithèse. Celui qui est l'antithèse de la ville, c'est l'Horizon.

Là où la route emmène, les vies se séparent et se réunissent. Là où la route commence et s'arrête les Hommes se rencontrent et se font la guerre. La route est source d'amitié et d'iniquités à la fois. Or, l'antithèse de la route, source de tant de chose , demeure et demeurera ce lieu où rien ne peut ne se produit, c'est à dire la Solitude.