Loccus Mercantile

Nous avons donc choisi que notre Loccus serait dans un centre commecial qui serait à moins d'une journée de déplacement en voiture quelque soit l'endroit dans le monde.

Nous avons donc pris comme avantage que le le Loccus soit Pratique (possibilité de le rejoindre) et cet avantage couterait 2 points.

Je pense que l'histoire de se répartir un des commerce comme espace personnel du Royaume serait une trés bonne idée. Je laisse les autres joueurs proposer leurs idées.

Pour ma part je me verrais bien, si c'est un über centre commerciale, avoir le cinema.
Au programme horaires anarchique filmes amateurs de genre art et essaie malgache sous-titré en serbo croate, des pop-choses, pop-vis pop-clous pop-bébé mais aussi et c'est le must, des pop-auteurs-incompris et des boissons poisson poison boison bisons bicon picon... quelquechose du genre.

idées en vrac, du soir bonsoir :

les adultes ne sont pas tolérés au locus Adulescens (du nom de votre Ymera), arrivé a leur majorité ils sont simplement chassés du royaume

Parmi ce que l'on pourrait y trouver : plantation d'utopie a bon compte et champs d'idées révolutionnaires en jachère ; une usine a recycler les idoles usagées en icônes à la mode ?

J'adore tes propositions ! Lol
Moi je verrais bien des champs de douces sucreries...Des violettes ! Des bergamotes !

D'ailleurs cela me rappelle un des écrits d'un jeune homme, Justlin, qui avait toujours voulu être cartographe. Bon, après son départ du Locus, il s'est mis à la drogue et à fini professeur dans un lycée privé...Mais il avait écrit (et cela m'avait tant plu) :

" Des grands champs du Locus, je retiens les belles fleurs qui dès le matin remplissaient l'air d'une brume sucrée, agréable et gourmande. Et la Nature recouverte se paraient de gourmandises, par les pommes englobées et les fraises rougies. C'est l'Aube Sucrée !
Mais en sortant de lit, sitôt saute sur nous un profond malaise, un reflux acide de mauvaise volonté, profonde asthénie ou simple feignantise ? Grand dégoût injustifié de la vie...Et dans la gorge l'air sucré du champ voisin me paraissait tout de suite plus désagréable, amère voire fatiguant. Satanées sucreries ! Encore heureux que ce ne soit qu'un champ sucré, et pas d'utopie. Peut-on s'habituer à trop croire ? La révolution prend-t-elle aussi un gout amère à trop en goûter ? Grande contemplation métaphysique pendant la toilette du matin..."