Le Bestiaire Imparfait

M.E.R. Regi du Changement et des Cycles : il se présenter comme l'image des possibles devenir de son interlocuteur, comme une vision idéale de ce qu'il pourrait jamais être (en bien comme en mal) tout autant qu'une image du concept le plus important pour son interlocuteur evoluant au gre des possibles, mais a coup de grands changements drastiques...
Un petit exemple pour illustrer cela : imaginons que M.E.R. soit en interaction avec quelqu'un pour qui la science est la chose la plus importante (...) ; il la verrait alors prendre les "traits" de la magie hermetique, puis de l'alchimie, renversee d'une pomme sur la tete pour evoluer vers la science positiviste, frappee d'un rayon de lumiere pour devenir quantique ou relativiste, renversee par une sonde voyager pour devenir ??, balayee d'un coup de ??? pour evoluer en ???, etc.
- A completer -

Fiche technique :
-1 exigeant
-1 ignorant (histoire)
+1 a enseigné a ses puissances comment réaliser une moisson d'ame
+1 tortueux

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Aaron Lhome, Administrateur général (sénéchal) : un individu avisé et d'un contact agréable, il porte un costume trois pièces, d'aluminium sombre, des plus classiques, et une cravate de fleurs vivantes.

Fiche technique :
PMR 1

Simon Le Liftier (garde frontière) : Il manœuvre l’ascenceur entre les divers étages et tient également le rôle de vigile. Vétue d'un costume rouge et noir a passant et du petit chapeau rond des gens de cette profession vers le milieu du siécle dernier, il à l'allure d'un jeune homme de 15 ans tel qu'on le verrai sur une publicité en noir et blanc, le sourire facile (surtout devant un bon pourboire).

Fiche technique :
Roy. 2 / Pénétration 0

Les Employés : pour la plupart interchangeables - bien qu’individuellement chacun présente des signes distinctif et une personnalité qui lui soit propre. Ils vivent et dorment en général à leur poste de travail. Il en existe plusieurs catégorie : les ouvriers, les laborantin, les jardiniers, les caissières, …

• Gérald et Gérard, les Laborantins : assistants de la Contienne Catleya sur plusieurs de ses projets de recherche en psychologie relative modulaire
  
• Yann Tau, le secrétaire stylé : compétent, il à un léger accent gaëlique, est toujours impassible dans son costume impeccable avec sa cravate a pois, il seconde Dame Aquarius, organise son agenda et lui sert souvent de coursier.
  
• Higgy, "les bons programmes" : en blouse blanche avec de grosses lunettes, semblables a des microscopes anciens avec diverses manettes pour régler la longueur focale, il a pour rôle, principalement,; de lire la grille des programmes TV à Cattualton.
  
• Edward, le Jardinier : homme de mains (c'est le cas de le dire) de Désir, il entretient avec soins le couloir changeant.
  
• Doc Martins, Ingénieur en Chef : Responsable de la plupart des chantiers de BTP au sein de l'immeuble, incompétent mais de bonne foi, il reconnait souvent qu'il n'est pas qualifié pour diriger "celà".

Les Standardistes : Ces créatures vivant principalement au Centre d’Appel, sont en grande part issues de la nanotechnologie et éprouveraient les plus grande difficultés a vivre en dehors de l’immeuble. Elles jouent le rôle de messager et sont chargées de la circulation de l’information au sein de l’immeuble.
Leur corps est de plexi-Glace au travers duquel on peut voir les organes de cuivre et les circuits imprimés de feuilles vertes qui déversent un flux d’information constant sous la forme d’une sève bleutée et luminescente. Elles sont de forme anthropoïde et bipèdes. Leur visages est composé comme Vishnu avec plusieurs faciès superposés. Leurs bras sont similaires aux humains sauf qu’ils sont constitués de câbles agrégés à la manière du bras de Tetsuo dans Akira. Leurs mains se terminent par des doigts en formes de combiné téléphoniques très fins.
Ils ou Elles, travaillent dans des pièces qui ressemblent aux standards qu’on pouvait voir dans les films des années 50 / 60 avec des tas de fils qu’ils créaient les connexions entre les interlocuteurs. Les standardistes créent des connexions en tirant des câbles de leurs corps comme ils s’enlevaient une veine, un tendon, ou une fibre musculaire très fine.
Leur visage est masqué par un casque qui ressemble aux casques de réalité virtuelle avec une large visière devant les yeux. La seule différence est que ces casques sont très fins et beaucoup moins volumineux que ceux qui sont énormes dans les films ou les arcades de jeux vidéos. D’ailleurs, ces casques n’en sont pas vraiment. Ce sont véritablement la tête des standardistes. Les standardistes ne communiquent pas par une forme de communication verbale ou gestuelle. En fait, les standardistes s’interconnectent par un système de branchement prévue à cet effet. Ils sont composés de quatre programmes de communications :

• Informations système : ce programme renseigne sur le niveau d’efficacité du standardiste, de sa motivation, de sa foi dans le système électronique et des surchauffe de son corps.
  
• Système alerte : ce système alerte les Maîtres Contrôle Principal de communication concernant l’Amour, l’Impérator, Le Seigneur entropie. Lorsque ces sujets sont évoqués, un système d’enregistrements se met en place et stocke la conversation entre les différents interlocuteurs. Une fois la communication terminée, le M.C.P se connecte à la standardiste et évalue les dangers potentiels de cette conversation et calcule les implications éventuelles.
  
• Mode charge : le ou la standardiste passe en mode charge et ne peut effectuer toute ses tâches durant ce laps de temps. Les standardistes sont obligés de ce connectés à un M.C.P générateur qui permet de recharger le standardiste. En d’autres termes. M.C.P générateur ressemblant à une grosse pelleteuse dont la pelle se termine en forme d’entonnoir, déverse dans le corps du standardiste une pelletée de vers à soie oranges qui ont la texture du quartz.
  Plus le standardiste est efficace et moins il tombe en panne en activant son système maintenance via les Informations Systèmes plus les vers à soie s’activent dans son corps en changeant de couleur. Chacun selon leur goûts. Si tout se passe bien, les vers à soie produisent une lumière diffuse émanant du dos aux multiples générateurs à lumières qui se transforme en ailes multicolores.
  Par contre, lorsque les Standardistes tombent en panne ou bien nécessitent une maintenance, ce sont les vers à soie qui opèrent les réparations. Comme ceux-ci sont extrêmement fragiles aux perturbations thermique et à l’électricité la plupart se désagrègent en réparant les standardistes qui ont des surtension et détruisent sporadiquement les vers à soie qui tentent de réguler les avarie systèmes. Lorsqu’il n’ y a plus de vers à soie, il est à nouveau temps pour le ou la standardiste de se rendre auprès du M.C.P générateur pour obtenir une charge nouvelle de vers à soie.
  
• Mode cancans : Les standardistes se relaient tour à tour dans l’immeuble pour se raconter les dernier potins en s’interconnectant. La plupart des flux d’informations concernent les rumeurs sur des standardistes qui se connectent le plus discrètement possible dans des coins sombres de l’immeuble. La plupart du temps il s’agit d’un endroit particulier : derrière la fontaine à détergent pour les surfaces brillantes…
  Ces rumeurs vont bon train et il n’est pas rare de voire des Standardistes offusqués d’entendre des récits de connections illicites dans des positions acrobatiques pour des échange qui ne sont loin des sujets de travail habituel.
  Il est dit que certains standardistes ont réussi à se transmettre des données Plaisir. Mais ceci n’est qu’une rumeur qui est plutôt racontée pour choquer les standardistes nouvellement arrivés et leur faire subir un petit bizutage « alerte systémique »…

Les Causeurs en Toges : population indigène de l’Escalier de service
A dévelloper

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Les Eparpillons : romans féroces aux mots aiguisés voletant de-ci de-là. Quelques uns mal-formés ne sont que dotés de pattes et remplis de mots doux - ceux-ci font de très affectueux animaux de compagnie

Les variétés issues de l’étage d’Immondis présentent des particularitées nettes qui les différencient des autres que l’on rencontre plus communément dans l’Immeuble :

Ils ressemblent à des albums de coloriage qui seraient remplis de dessins d’enfants. Leur pages sont des morceaux d’écorces vivants et la couverture est généralement faite de feuilles de prunier sont recouverts d’yeux.
Ils se déplacent comme des araignées. Il arrive que deux livre se rencontrent et se heurtent ? car malgré leur yeux innombrables ils ont une acuité réduite. Lorsque cela arrive il se forme généralement un cocon et en ressort un couple d’éparpillons entourant un chrysallyion. Ce chrysallyion est un petits carnets de mots de trois syllabes ou moins représentants des œuvres d’arts premiers aux couleurs de feu principalement. Ils se déplacent en claudiquant sur leurs pattes de faunes balançant sans raisons leurs bras de proverbes multiples.

Les Cubes : Cette espèce prolifère aux alentours du Puit de Lumière. Autour, et parfois sous nos pieds et au-dessus de nos tetes se poursuit une etrange cohabitation, melee de quelques episodes fort sanglants: de petits cubes y disputent l'espace aux éparpillons, ou bien les protegent, ou bien s'y accouplent (peut-etre ces transgeneses sont-elles a l'origine des éparpillons les plus doux... ou les plus agressifs ?). Ces cubes, si petits qu'on ne les distingue pas, se manifestent a nos yeux lorsque rassembles en gigantesques colonies, ils prennent forme d'un moucheron, d'un brin d'herbe, de quelque bacterie ou de quelque autre chose indefinissable...
Parfois l'un d'eux entame une croissance acceleree produisant quelque sorte de bouche que ses congeneres nourrissent de fragments encore palpitants d'eparpillons et qui, dans une explosion soudaine, s'ecrit "La SCience ESt en mARche".
Dialogos les appelle les Scesars, mais pour l'instant, ils sont utiles et ne passent pas le Rubicond...

les Mimes : sont les vagabonds de l'immeuble, de grands corps nus peinturlurés de couleurs invisible et hurlants a tout va, il leur arrive parfois d'être distrayant. Se déplacent en troupeau - de par un très fort instinct grégaire.Il sont tolérés parce qu'il fournissent une très bonne matière première pour toute sorte d'activité (construction d'un nouvel élément d'étage, replant d'une nouvelle pousse, manque d'un nombre dans une chaîne statistique, ameublement, employés, etc. d'ailleurs comme ils se déplacent la quasi-totalité du temps en groupe, les mimes ont généralement une utilité architecturale. Beaucoup ont pour devoir de s’agréger et de former des architecture supplémentaire. D’ailleurs, souvent, du temps ils forment de leur physionomie les décorations rococo qui règnent dans certains étages. ) bien qu'une régulation sévère de leur nombre soit indispensable (leur taux de reproduction est élevé).
Leur forme de communication est assez rudimentaire et complexe à la fois. Ils conversent en se déplaçant… C’est à dire qu’en fonction des mouvements de groupe qu’ils effectuent, ils dégagent une émotion ( comme la peur, la joie ou la tristesse…). Parfois ils se mettent à danser pour donner une idée complexes à plusieurs niveaux. Comme le font les abeilles lorsqu’elles dansent en l’air pour indiquer la présence de fleurs en grand nombres à ses congénères.
Lorsqu’ils errent sans s’appliquer sur une tâche particulière, ils entonnent des champs guerriers ou des litanies funestes aux accents sombres et envoûtants. Leurs chants sont souvent des hymnes qui évoquent des batailles gigantesques qui n’ont jamais de fin.

Les Mimes sont composés de reproductions de toiles de maîtres, principalement de Salvador Dali. Ils sont comme des mannequins de boutiques de fringues avec une morphologie qui est sans cesse changeante et qui s’adapte en fonction de leur utilité. Les mimes sont capables de changer de couleurs mais la plupart du temps lorsqu'ils adoptent une pigmentation visible ils preféfèrent les teintes voyantes voire criardes lorsqu’ils intègrent le mobilier pour lui donner le style rococo. Ceci étant leur apparence la plus courante.
Pourtant, il arrive qu’ils prennent la forme de grands êtres musculeux dont la peau ressemble à de la chitine blanche mêlée à de l’ébène. Leur tête est ridiculement petite et a un visage recouvert d’un masque comme ceux que l’on peut voir durant le carnaval de Venise( c’est-à-dire, extrêmement décoré…) Leur corps est recouvert de cuir noir comportant de multiples boucles d’argent et de lanières recouvertes de broderies blanches. Leurs bras sont hérissé de lames tranchantes qui leur transpercent les chairs de part en part. Leur blessures à ces endroits laissent couler en permanence (jusqu’à ce qu’ils changent de forme à nouveau…) des roses d’une couleur pourpre éclatante.
Certains sont parfois prégnants et arborent au niveau de leur torse une excroissance transparente à l’intérieur de laquelle évolue une créature hybride mêlant un corps de poupée de porcelaine avec à la place des mains des pines de crabes pourvus d’ailes d’insectes comme celles des cousins. L’accouchement se passe généralement après quatre semaines de gestation. Le corps du mimes s’ouvre ( comme une page qui se déchire s’il est à son état naturel , ou comme un œuf à la coq si il est sous sa forme chitineuse) et laisse la créature à l’intérieur de son torse s’envoler de son carcan de chair ou de papier. Lorsque le mime est sous la forme de la reproduction d’une toile de Dali, la toile s’anime dans le décore, laissant la marque d’une déchirure et transforme le centre de la toile en un gouffre sans fond d’où émane l’enfant du mime.
Une fois que l’enfant s’est envolé, il se pose au plus tard un cycle lunaire prosaïque standard plus tard et perd ses ailes qui se décomposent et se transforment en musique classique.

Les Krilleurs : des bêtes de diamants, une espèce endogène de Pigmalion. A dévelloper