Un pétale d'aubépine
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D'un Atlas des Contingences Auxilières

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D'un Atlas des Contingences Auxilières Empty D'un Atlas des Contingences Auxilières

Message par La Divine Rose Trémière Mer 4 Juin - 17:39

GENERALITES


Crée par le sacrifice de 100 mortels lors des grands changements vers la modernité (de chaque époque). Immeuble gratte ciel - chaque puissance y a son propre étage modelé à sa convenance (selon ses possibilités). Les entrées de l'immeuble se situent aux étages 13 (absent) a de grandes tour de grande ville du monde prosaïque (où suppose t'on se trouvent concentrés le plus de gens qui veulent changer les choses)

FICHE TECHNIQUE
total 10 pt.
2......source de mana (+2 PM / conte)
6......garde frontière Roy 2 / Pénétration 0
0......passage vers Ygdrasil (activation 4 PMR)
0......passage vers les Enfers (activation 4 PMR)
-1......sénéchal (rayonnant bienveillant - dispose d' 1 PMR)
3......Sciences étranges :
    social/communication
    art/lumière
    nanotechnologie

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LES ETAGES :


Le Toit (cœur du sanctuaire) : bien que peu d'employés le sachent, il est un fait avéré que l'immeuble possède cela, peu savent vraiment où il se trouve et comment y parvenir. Quoi qu'il en soit il offre une vue imprenable sur la Création. Quelque part entre deux lambeaux de brume se dresse une fontaine au terme d'un acqueduc dont les arches semblent provenir de toutes les branches voisines.

  • Deux gueules - l'une de sphinx, l'autre de harpie - mêlent leurs flots de parole qui cascade sur les degrés du bassin avant de s'épandre sur le sol et de ruisseler dans les fissures de l'immeuble. De ces flots mêlés s'élève un dialogue, écho de dialogues des Terres-sources, sans cesse changeant, mais donnant une étrange impression de suite "logique". Le sujet de ce dialogue continu semble refléter l'humeur de Synos Dialogos.
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connecté à : … un portail vers Yggdrasil …

Le Secteur Administratif : responsable de la paye des employés, du traitement des formulaires et autres tracasseries. Une série de bureaux dans des boxes individuels - que les employé ont aménagés pour y vivre en compagnie de leur famille -au fond un grand mur d'écran sur lequel défilent sans cesse des séries de chiffres a la logique obscur modélisant la loi dite de Murphy. A l’intérieur de la pièce le plafond est invisible car une masse de nuage couvre la vue. De ces nuages, il pleut des chats qui s’écrasent sur le dos et renaissent sous forme d’épis de blé qui poussent à vitesse accélérée et grandissent et grossissent de façon incroyable jusqu’à parfois devenir des moulins dont les pales brassent une poussière faite de tranche de réalité poétiques recouvertes de confiture de marijuana qui retombent au sol (confiture dessus)

connecté à : … Johanesburg…


La Rotonde / étage de Cattualton : une salle entièrement ronde, le sol noir d'obsidienne, les murs faits d'écrans de toutes sortes ; de vieux postes de T.V. noirs et blancs ou couleur, des moniteurs d'ordinateur, des écrans plats, des projection Holo ou Solido, ... recouvrent toute la surface disponible, ils sont sans cesse allumés diffusant tout les programmes du monde en simultané, au centre monté sur une plaque tournante d'acier poli un grand fauteuil de cuir d'aspect confortable

connecté à : Chicago - Sear Tower

Les Serres : où en longue rangées, sous éclairage artificiel, sont cultivés avec soin des plants de vacuité. Les plants ressemblent à une fumée violettes très sombres qui tentent de sa mâchoire proéminente tente de dévorer les poches d’air qui passent à sa portée - de fait le personnel travaillant a cet étage doit revêtir un scaphandre pressurisé afin d'éviter tout dommage résultant de la traversée d'une zone privée d'air ou d'atmosphère. Les serres sont faites de gouvernements corrompus retombées sous forme de dômes et aplaties par des mots ivres de liberté. Les structures qui soutiennent ces formes de pouvoirs perdus sont faites de cimeterres cybernétiques et agrégés représentants des protéines mutantes.

connecté à : … Detroit…


Le kiosque et son jardin d'agrément / étage de Stella Aquarius : Un vaste jardin traversé, d'une petite rivière, où s'ébattent dauphins et ours blancs. On y trouve outre une bibliothéque et un kiosque charmant quoi qu'à l'ornemantation ostensible dans lequel est accroché un tableau de Dali : "Rêve causé par le vol d'une abeille autour d'une pomme-grenade une seconde avant l'éveil" - dont les sujets peuvent entrer et sortir a volonté du cadre -, un grand arbre à l'ombre duquel viennent se rencontrer des penseurs d'origine diverse (incluant ceux du monde prosaïque ayant connaissance de cet endroit)

connecté à : …à définir…

Le Centre d'Appel : de nombreuses standardistes maintiennent une hot-line (sorte de S.A.V. et incluant suivi et relance de clientèle) pour les relations compliqués que les cœur et les âmes entretiennent avec leur mortel. Il arrive que l’on y prenne les appels plus classique et que l’on y fasse également du démarchage téléphonique.

connecté à : … Casablanca…


La Bibliothéque des Soies qui Jamais ne Furent : ici s'alignent sur des kilomètres de rayonnages des échantillons de toutes les textures et couleurs, densités et épaisseurs de soies.

connecté à : … Nagazaki…


Pigmalion / étage de Corbeau : une grande forêt d'ombre au ciel de cristal qui lorsqu'il est balayé par l'éclat du puit de lumière tombe en pluie sur l'étage. Ici on trouve un petit ameau de maisons de pierres sombres et simples dominés par deux battisses plus importantes : l'un est l'hopital de l'immeuble et l'autres les archives. La faune de cet endroit regroupent quelques espèces rares comme les Krilleurs - des bêtes de diamant - ou les cygnes a cinq ailes qui jamais ne se posent, on trouve également quelques licornes. Il semble que les chemins qui traversent cet endroit fredonnent d'étrange mélodies reflétant les pensée de ceux qui y circulent !

connecté à : …Londre, Tour de Londre…


Les Chambres Noires : Une fois la porte des dortoirs franchi on entre dans une ténèbre opaque que nulle lumière ne perce (attention il est facile de s'y perdre). Certains membres du personnel obsolètes, épuisé ou révoqués y disparaissent (meurent-ils ?) . En sortent régulièrement de nouveaux employés opérationnels et toniques. Derrière les portes ont entend souvent « Another brick in the wall » avec une voix qui hurle : « If you don’t eat your meat, you can’t have any pudding ! » ou « You can’t have your pudding if you don’t eat your meat ! »

connecté à : … Berlin-Ouest…


Le Laboratoire et Autres Comodités / étage de Catleya : il semble important de signaler le fait que l'on ne puisse y accéder que par les sorties de secours de l'immeuble et en aucun cas par l'ascensceur. On trouve ici 6 salles ; un vestibule, un cloitre-pour-penser, une chambre, un confessionnal transformé en "laboratoire de science humaine étrange", un salle de toilette, un salon.

connecté à : ...Paris, Tour Montparnasse...


La Galerie Marchande : dotée d’une vaste supérette et de plusieurs boutiques où l’on propose une grande variété d'articles parmi lequels ; armes a feu, sachet plastiques non biodégradables, médicament, alcool et tabac (bien qu'il soit prohibé de fumer dans l'immeuble) - l’endroit est couramment utilisée par les employés pour faire leurs courses. Possède un coin cafétéria où l'on vent des nourritures – hamburger triples et boissons extra-light - à consommer sur place ou a emporter, une salle de gym dernier cri (avec sauna et jacusi entre autre), etc.

connecté à : … Moscou…


Le Jardin d'Ornement du Rez-de-Chaussé : une jungle ADN de bandes 8mm savamment organisée autour d'une somptueuse fontaine rococo. La fontaine déverse un flot ininterrompu de détergent et de discours à l’haleine parfumée de violette et de Lys fraîchement coupés sur un fond rouge adressé aux rois du jardin des senteurs obsolètes.

connecté à : … Bombay…

La buanderie / étage de Désir : en sous sol, cet endroit ressemble aux lavomatiques de la réalité prosaïque, des sièges en plastique moulés et inconfortables vis a vis d'une vingtaine de laves-linge. Cependant il existerait ici un passage caché vers les quartiers de Désir quelque-part ici.

connecté à : … à compléter...


La Chaudière : située également en sous sol ce prédateur avide attrape au vol toute idée neuve imprudente s'approchant par trop et son appétit féroce est calmé par un grand nombre d'ouvriers déversant des brouettes de concepts désuets, certains bougent encore, dans son ventre - on suppose qu'elle produit l'énergie pour l'ensemble de l'immeuble

connecté à : … Brazillia…
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LES AMENAGEMENTS


Les Confessionnaux : des chambres insonorisés où, pour une somme modique chacun est libre de se débarrasser de ses secrets pesants en les disant a haute voix dans les magnétophones installés a cette fin.

L'escalier de Service / étage de Dialogos : Dessert l'ensemble de l'immeuble pour le cas où (bien improbable) l'ascenceur tomberait en panne. Derrière un écriteau marqué d'un péremptoire "Accés Strictement Réservé au Personnel" - bien que nul ne se risquerait d'en franchir es portes s'il n'y a pas été mandé - se trouve cet endroit sans dimension appréhendable, sans gravite bien définie, construit a la Escher (peintre et lithographe qui s'est inspire du ruban de mœbius) autour/dans/sur un jardin, dans un style global évoquant la grèce classique en constante évolution... Ici même la flore bavarde et bruisse et au « centre » de ce jardin se dresse une statue étrange (seul point fixe de cet étage sans plancher ni plafond) qui annone des mots sans cesse et sans répit, ce sont les mots du monde qui se transforment et évoluent, tant en sens qu'en prononciation, et a qui sait demander (et comprendre), elle expliquera tous les mots qui furent/sont/seront et leur sens passe/présent/futur

connecté à : … à completer…

Altérations propres des Confessionaux dépendants de l’étage d’Immondys : Une de ces pièces typique est remplie d’appareils électriques d’enregistrement s comme un studio de musique. Les murs sont faits d’images de grands révolutionnaires aux style vestimentaire reflétant une époque inconnue. Les bobines tournent en permanence sur les murs. Les micros sont faits de fleurs brodés et découpées dans des robes de poupées de porcelaine. Chaque mur est recouvert par des miniatures de la créature qui est représenté sur « Le cri « d’Edward Munch.


Les Moulins à Rumeur : toujours pour quelques pièces rediffusent les confessions enregistrées après que les mots en ait étés brouillé et dispersés.

Altérations propres aux Moulins à Rumeurs dépendants de l’étage d’Immondys : La plupart du temps. Les paroles sont mixés sur les appareils qui forment le mobilier de la pièce et qui donne à l’endroit l’aspect d’une régie de plateau télé. Les paroles sont assemblées et mélangées et associées à des musiques ressemblant à du trash reggae muffin.


L'Ascenceur : dans un style début de XXe siècle avec de grandes grilles et un liftier, il dessert les différents étages tant dans le Royaume que dans la Réalité Prosaïque. Mu par une mécanique d'horlogerie de grande précision - il n'y a que quatre direction pour déplacer l'ascenseur Printemps / Eté / Automne / Hivers. Par ailleurs celui-ci coïncide avec le 13e étage de plusieurs grandes villes de la réalité prosaïque, pour qui sait voir !


La Portes : pour qui possède la bonne clef, il est dit qu'une des issues de l'immeuble ouvrirait sur l'Enfer


Le Puit de Lumière : cette grande structure traverse certains étages, la lumière s'y transmet a son grès, traînant en chemin ou fonçant a travers des toiles tendues ça et la, sur lesquelles elle laisse d'étranges et suggestives compositions. Les mimes y sont grandement utiles, fournissant a l'onde folâtre matière a réfléchir ou a traverser. En fonction de ses caprices quantiques, ses rayons sautent parfois dans quelque autre partie de l'immeuble, étendant le volume du puit de lumière, ou bien oublient d'aller dans une autre partie, qui se dépêche alors de se transformer en chambre noire, ou, dit-on, l'art sombre qui s'y crée a de bien étranges effets sur nos employés...


Dernière édition par La Divine Rose Trémière le Sam 14 Juin - 19:28, édité 2 fois
La Divine Rose Trémière
La Divine Rose Trémière

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Un, deux, trois... : « L'unique vérité de l'univers est-celle-ci » dit le diable.
Quatre, cinq, six... : « tout le monde obtient exactement ce qu'il veut.
Sept, huit, neuf... : — Comment, alors, expliquez vous l'Enfer ? »
Date d'inscription : 30/04/2008

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